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28/01/2015

Communication non violente CNV Vannes Morbihan

Voici quelques informations concernant la communication non violente .

Elle reprend je pense de façon intéressante la vision de Liddu mais ne va peut être pas au fond du problème et sa compréhension comme Liddu a voulu l'expliquer, le tout ne nous aidant pas à nous libérer de nos conflits mais plus aller vers une acceptation de l'autre sans le heurter  ...

Prenez le temps de lire quelques pages de ce site, vous n'êtes pas arrivé ici pour rien  !

Merci à wikipedia ! 

Alors que la grammaire française inciterait à utiliser l'expression « communication non-violente » plusieurs auteurs francophones, dont Marshall B. Rosenberg, le Center for Nonviolent Communication (CNVC), les sites de références, qui dépendent du réseau du Centre pour la CNV ou les formateurs francophones certifiés par le CNVC, préfèrent l'expression « Communication NonViolente » avec plusieurs arguments :

  • « L'expression Communication NonViolente (CNV) est la traduction française d'une marque déposée aux États-Unis. Les majuscules et l'absence de trait d'union en font partie. »[7]
  • « La CNV est un processus précis que nous devons à Marshall B. Rosenberg, que nous distinguons du terme générique de « communication non-violente » qui appartient au vocabulaire courant et à tous »[8]
  • L'intention de Marshall B. Rosenberg est d'exprimer la « NonViolence » comme une intention positive de ce que nous voulons, renoncer à la violence, et non un refus d'une violence que nous ne voulons pas[9].

Cet article utilise la terminologie souhaitée par Marshall B. Rosenberg.

Définition de Marshall Rosenberg

Marshall Rosenberg propose une définition du processus de la CNV[10][réf. insuffisante], processus qui, selon lui, est continuellement remis en question[citation nécessaire] :

« La Communication NonViolente, c'est la combinaison d'un langage, d'une façon de penser, d'un savoir-faire en communication et de moyens d'influence qui servent mon désir de faire trois choses :

  • me libérer du conditionnement culturel qui est en discordance avec la manière dont je veux vivre ma vie ;
  • acquérir le pouvoir de me mettre en lien avec moi-même et autrui d'une façon qui me permette de donner naturellement à partir de mon cœur ;
  • acquérir le pouvoir de créer des structures qui soutiennent cette façon de donner. »

Explication de la terminologie employée

  • Le « conditionnement culturel », pour Marshall Rosenberg, est la façon que nous aurions de porter des jugements sur les choses et les êtres en termes de « vrai » ou « faux »[11].
  • « Se mettre en lien avec soi-même » pourrait s'expliquer comme : prendre pleinement conscience des sentiments et besoins qui nous habitent et qui, au départ, sont juste« vaguement conscients »[réf. nécessaire].
  • « Donner naturellement à partir de son cœur » pourrait se définir comme une générosité spontanée et volontaire, qui ne provient pas d'une contrainte ou d'une obligation morale extérieure[réf. nécessaire].

Définition de Thomas d'Ansembourg

Selon Thomas d'Ansembourg, le processus de la CNV vise à aider à éclaircir ce que nous vivons[12]. Il ne s'agit pas de l'empathie en tant que telle, mais y donne accès. Il ne s'agit pas non plus d'une simple écoute, mais de « se relier efficacement à soi et à l'autre », c'est-à-dire prendre pleinement conscience de ses propres sentiments et de ceux de l'autre.

Définition de David Servan-Schreiber

Dans son best-seller GuérirDavid Servan-Schreiber décrit le processus de la CNV en termes relativement simples. Selon lui, le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être« dans l'authenticité et l'ouverture »[13].

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