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20/09/2015

Le sentiment amoureux

Ah voici un sujet des plus enivrant !!

Être amoureux quel plaisir ! Ah j ai dit le mot plaisir , j ai utilisé le mot sentiment ... Développons !

Pour ce qui est du plaisir le sujet a déjà ete traite dans une autre page du blog, allez voir ici : http://krishnamurti.hautetfort.com/le-plaisir/

Intéressons nous maintenant au sentiment ...

Qu est ce qu un sentiment ? Voici des exemples de sentiments : la haine, la colère, la joie, être malheureux...

Les sentiments ne sont ils pas l expression du plaisir ou mauvais plaisir que l on prend à quelque chose ?

De quoi découle le sentiment amoureux ?

Plaisir du jeux amoureux , échanges de regards, de sms, de contact, de toucher, danse , humour, esthétique etc ...

J ai exprimé deux mots : jeux et échanges ! Faisons un petit parallèle avec un sport comme le tennis et comprenons pourquoi être amoureux peut amener à la déception frustration conflits entre les joueurs ...

Avez vous déjà regardé des matchs de tennis ? Sortons du coté compétition puisque il n en est pas question dans le jeux amoureux ...

Restons juste dans le jeux, nous pouvons voir qu' un joueur n' est pas toujours au top de son niveau, la fatigue, les troubles psychologiques peuvent influencer son niveau de jeu...

Il en va de même dans le couple amoureux, chacun possédant un corps pouvant plus ou moins encaisser la fatigue Journalière, chacun ayant ses propres réflexes/conflits face aux aléas de la vie...

Et que se passe t il quand un des deux joueurs est en pleine forme sans soucis particulier alors que l autre rencontre des difficultés ?

eh bien c est simple , le joueur étant au top niveau va commencer à entrer en déception, il est là pour jouer et ne reçois plus les balles... Si le niveau de jeux ne s' améliore pas rapidement , il continuera en signalant à son partenaire que c est pas top aujourd’hui ! Si lors des jours suivants la différence de niveau persiste, la lassitude, l' envie de ne plus jouer va commencer à pointer son nez ... Jusqu au moment où il décidera de ne plus jouer avec son partenaire et au pire si le sentiment amoureux est primordial pour des raisons d'attachement par exemple, il en changera ou aura envie d'en changer ne se sentant plus aimé ...

Si le joueur jouant encore à son niveau habituel est patient pas de soucis, il restera sur le terrain mais devra baisser son niveau de jeu et accepter de jouer à ce niveau. Cas idéal mais combien de temps cela peut il durer surtout si ce jeu est important et qu il en tire beaucoup de plaisir ...

Qu' en est il des réactions de celui qui n arrive plus à jouer à ce niveau ?

Plusieurs sentiments vont prendre naissance :

Le plus important va être la culpabilité de ne plus arriver à être amoureux comme avant ! 

Tout est question d' énergie, être amoureux demande du temps et de l' énergie, si celle ci est passée dans mon travail , si le plaisir d' être amoureux n est pas la priorité , la culpabilité de ne pouvoir donner à l'autre le retour permettant de jouer va s' insinuer, surtout si le conjoint pousse à cette culpabilité tellement être amoureux est important pour lui , pour x raisons ! 

Bien sur il peut aussi y avoir la colère, devant la demande pressante du conjoint qui n arrive pas à faire avec ce manque et donc conflit entre les deux ... 

L important je pense est de bien comprendre quel plaisir nous prenons au jeu amoureux et surtout si il y a dépendance et pourquoi ? En clair quand votre chéri n' est plus amoureux , qu' est ce que cela va déclencher en vous ? Pas grave je vais faire autre chose ? Ou bien  oulala c est horrible et insupportable , il me manque quelque chose et je n arrive plus à vivre sans cela ... 

C est tout l' art de prendre du plaisir et de savoir si il devient un conditionnement, un enfermement, ou si il est pris quand il passe sans attente ou besoin ... 

 Et en amour c'est un sujet très délicat et flagrant si nous voulons bien l'observer, et je parle d'expérience !!

30/01/2015

La notion de conflit

Pensez à bien comprendre l image de l iceberg car j y ferai souvent référence ...

Les conflits remplissent cette partie "sous l eau", celle qui pèse, qui nous empêche d être libre de mouvement pour aller flotter à droite ou à gauche au gré des courants sur l'océan qu est la vie .

Imaginez cet iceberg avec une partie sous l'eau beaucoup moins volumineuse, ne voyez vous pas comme il lui est alors plus facile de naviguer ?

C est la compréhension du puzzle de la vie qui rend cette partie moins présente et pesante .

Le conflit peut être interprété comme l interaction entre deux pôles opposés créant une force produisant un effet éventuellement visuel ou du moins qui peut être détecté par nos sens ...

je sais cela ressemble un peu à un cours de Physique, prenons un exemple ce sera plus parlant :

Mon fils de 3 ans mange. Comme la plupart des enfants de son âge, son habilité est en devenir et ce n est pas sa spécialité ! Bilan : des aliments qui volent hors de l assiette et qui n ont rien à faire ni sur la nappe ni sur le sol ...

Naît alors en moi un sentiment, dû au conflit sur le fait que ce qui est devant moi devient sale pour moi alors que je veux que ce soit propre !

Ce sentiment naît de l'interaction entre le propre et le sale ( deux choses bien opposés ): le concept du propre/sale. Un concept qui voudrait que tout soit propre chez moi suite à mon éducation ou d autres raisons...

Deux pôles opposés s attirent, non ? L homme/la femme, le sec/l humide etc ....

Visuellement, devant mes yeux : le sale , et dans mon esprit l autre partie du concept beaucoup plus prédominante   : le propre...

Mettons un pole nord face a un pole sud , que se produit il ?

Dans un premier temps, la reconnaissance , l'un reconnaît l autre comme son complémentaire...

Puis dans un deuxième temps, la recherche d équilibre, par le mouvement, c est la face visible, jusqu au point d équilibre, la rencontre des deux et la stabilité ... Tout fini bien !

Admettons que je retienne les deux aimants, il va y avoir création d une force, cette force qui manifeste la recherche de l équilibre mais ne le trouve pas !

Le conflit mal vécu c'est ça ! Et la force sera visualisée comme : frustration, énervement, peur etc etc ...

Revenons à mon cas pratique ! 

La table sale, va venir titiller ma notion du propre , si la rencontre  des deux ne se fait pas, parcque j y tiens à mon propre ! ( noter le mot "tenir" à mettre en corrélation avec la phrase du dessus et retenir les aimants ) alors je vais sentir en moi monter des sentiments bien peu agréables...

La rencontre de ses deux opposés c'est la reconnaissance de l existence de l'un et de l autre,  l'observation sans jugement de ce que je vois et ressens.

Sans cette rencontre va naitre une énergie qui se matérialise par mon énervement ou ma volonté de ne pas accepter ce qui est , ne pas accepter que cette piece du puzzle ai sa place !

Nait alors le combat , la violence, la perte d énergie pour empêcher la fusion des deux pôles  ...

Nous sommes en plein désordre et surtout séparation, monde binaire ou les couples ne peuvent se rejoindre ...

La solution ? Reconnaitre l existence de chacun, le propre , le sale, sans juger de ce qui est bien ou mal.

Laissez les se retrouver ! Acceptez que les deux pièces du puzzle aillent ensemble, vous verrez on se sent mieux !

Et ensuite ? Aider l'enfant à développer son habileté, sans souffrance, sans cris, sans remarques désobligeantes et accepter d avoir à nettoyer tout ca  !!

Avec le temps tout s arrangera et d autant plus vite que tout aura été géré avec souplesse et reconnaissance...

explication par le dessin :  cliquer sur l image pour agrandir .

image.jpg

 

Remplacez le propre/sale par un autre concept, politesse/impolitesse, être à l heure/ être en retard, la guerre/la paix etc etc ... Vous verrez même cause même resultats !

28/01/2015

Communication non violente CNV Vannes Morbihan

Voici quelques informations concernant la communication non violente .

Elle reprend je pense de façon intéressante la vision de Liddu mais ne va peut être pas au fond du problème et sa compréhension comme Liddu a voulu l'expliquer, le tout ne nous aidant pas à nous libérer de nos conflits mais plus aller vers une acceptation de l'autre sans le heurter  ...

Prenez le temps de lire quelques pages de ce site, vous n'êtes pas arrivé ici pour rien  !

Merci à wikipedia ! 

Alors que la grammaire française inciterait à utiliser l'expression « communication non-violente » plusieurs auteurs francophones, dont Marshall B. Rosenberg, le Center for Nonviolent Communication (CNVC), les sites de références, qui dépendent du réseau du Centre pour la CNV ou les formateurs francophones certifiés par le CNVC, préfèrent l'expression « Communication NonViolente » avec plusieurs arguments :

  • « L'expression Communication NonViolente (CNV) est la traduction française d'une marque déposée aux États-Unis. Les majuscules et l'absence de trait d'union en font partie. »[7]
  • « La CNV est un processus précis que nous devons à Marshall B. Rosenberg, que nous distinguons du terme générique de « communication non-violente » qui appartient au vocabulaire courant et à tous »[8]
  • L'intention de Marshall B. Rosenberg est d'exprimer la « NonViolence » comme une intention positive de ce que nous voulons, renoncer à la violence, et non un refus d'une violence que nous ne voulons pas[9].

Cet article utilise la terminologie souhaitée par Marshall B. Rosenberg.

Définition de Marshall Rosenberg

Marshall Rosenberg propose une définition du processus de la CNV[10][réf. insuffisante], processus qui, selon lui, est continuellement remis en question[citation nécessaire] :

« La Communication NonViolente, c'est la combinaison d'un langage, d'une façon de penser, d'un savoir-faire en communication et de moyens d'influence qui servent mon désir de faire trois choses :

  • me libérer du conditionnement culturel qui est en discordance avec la manière dont je veux vivre ma vie ;
  • acquérir le pouvoir de me mettre en lien avec moi-même et autrui d'une façon qui me permette de donner naturellement à partir de mon cœur ;
  • acquérir le pouvoir de créer des structures qui soutiennent cette façon de donner. »

Explication de la terminologie employée

  • Le « conditionnement culturel », pour Marshall Rosenberg, est la façon que nous aurions de porter des jugements sur les choses et les êtres en termes de « vrai » ou « faux »[11].
  • « Se mettre en lien avec soi-même » pourrait s'expliquer comme : prendre pleinement conscience des sentiments et besoins qui nous habitent et qui, au départ, sont juste« vaguement conscients »[réf. nécessaire].
  • « Donner naturellement à partir de son cœur » pourrait se définir comme une générosité spontanée et volontaire, qui ne provient pas d'une contrainte ou d'une obligation morale extérieure[réf. nécessaire].

Définition de Thomas d'Ansembourg

Selon Thomas d'Ansembourg, le processus de la CNV vise à aider à éclaircir ce que nous vivons[12]. Il ne s'agit pas de l'empathie en tant que telle, mais y donne accès. Il ne s'agit pas non plus d'une simple écoute, mais de « se relier efficacement à soi et à l'autre », c'est-à-dire prendre pleinement conscience de ses propres sentiments et de ceux de l'autre.

Définition de David Servan-Schreiber

Dans son best-seller GuérirDavid Servan-Schreiber décrit le processus de la CNV en termes relativement simples. Selon lui, le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être« dans l'authenticité et l'ouverture »[13].